Depuis que Facebook a pris une ampleur considérable dans la vie quotidienne de la population, la plupart ne peuvent plus passer une journée sans se connecter à l’application. Conscient des conséquences néfastes de ce monde virtuel, Facebook a proposé une journée mondiale sans elle.
Facebook et son utilité
Mark Zuckerberg, ainsi que ses collèges de l’université de Harvard (Chris Hughes, Eduardo Saverin, Andrew McCollum et Dustin Moskovitz) ont créé en 2004 le réseau social en ligne le plus populaire du XXIe siècle. Ce réseau social permet à ses utilisateurs de publier des images ou des photos, des vidéos, des fichiers et documents, d’échanger des messages, de joindre et créer des groupes et également d’utiliser une variété d’applications.
Il a tout d’abord été créé pour une application au sein de l’université puis s’est propagé dans d’autres universités. Ce n’est qu’en septembre 2006 que Facebook fait son apparition sur les écrans des ordinateurs, puis des appareils mobiles de la population mondiale. Le site doit son nom aux albums photo de l’université appelé « trombinoscopes » ou « Facebooks » en anglais. Cet album contient en effet les photos des visages de tous les élèves de l’université pris en début d’année scolaire.
Après Google et YouTube, Facebook est le troisième site internet le plus utilisé au monde. D’après « Alexa Internet », qui a pour mission de produire des statistiques sur le trafic du Web mondial, Facebook a atteint les 2 milliards d’utilisateurs actifs en juin 2017. Il a également été enregistré que le 24 août 2015, pour la première fois, un milliard d’individus ont utilisé Facebook.
Une journée mondiale consacrée pour se déconnecter de Facebook
Facebook lui-même a proposé sur son site une journée dans l’année pour se passer de cette application. Il a été publié dans « journée mondiale » que le 28 février de chaque année sera particulièrement la journée sans Facebook.
Selon ses organisateurs, ce serait une façon d’aider la population de se détacher même pour une journée au cyber dépendance qui est reconnue comme une addiction. C’est aussi une manière de s’opposer aux publicités intrusives qui prétendent être des informations utiles et nécessaires aux utilisateurs.
Facebook lui-même a donc aussi pris cette initiative pour pouvoir rappeler la sécurisation nécessaire de l’instrument qui est relativement accessible aux pilleurs d’informations personnels des utilisateurs. C’est aussi une manière de se reconnecter à la vraie vie en dehors des réseaux sociaux, qui aujourd’hui prolifèrent sur le marché.