Dans plusieurs pays du monde on fête l’amitié le 30 Juillet de chaque année. C’est le Paraguay qui en est l’initiative en 1958, afin d’honorer le choix du pays et de répartir l’intention, des cartes de vœux ont été conçues pour le première fois afin de prouver son amitié à quelqu’un. La notion de « journée internationale de l’amitié » fut approuvée par l’Organisation des Nations Unis en 2011 pour honorer l’amitié dans tous les pays du monde.
L’amitié
Un joli mot qui sonne aux oreilles de tous, l’amitié est fondamentale dans une vie. Attachement réciproque de deux individus n’étant pas de la même famille, l’amitié prend des dimensions absolument variables. Aussi variable qu’il n’existe d’êtres humains sur terre. D’ailleurs, les personnes très solitaires n’ayant pas la chance de se sociabiliser sont très souvent dans des cheminements dépressifs. Nécessaire à la joie et à la bonne humeur, l’amitié est une forme d’amour. Qualité, valeur, cause, être soi-même est la meilleure façon de faire durer une amitié qui, considérée comme un pilier de l’épanouissement personnel, est nécessaire à d’agréables perspectives de vie.
Fêter c’est partager
Encore une fois se réunir entre amis pour fêter la journée de l’amitié est une preuve dans le cheminement de l’amitié. Dans un engagement pour la paix, l’ONU encourage vivement les gouvernements à mettre en place les actions d’unifications du peuple, notamment au travers d’activités, de soutiens collectifs et toutes sortes d’événements qui contribuent aux efforts de la communauté internationale de promotion d’un dialogue entre les civilisations, la solidarité, la compréhension mutuelle et la réconciliation.
Une forme simple aux répercussions multiples
L’amitié commence dès le plus jeune âge. À l’école, alors que les enfants se rencontrent dans un contexte qui n’est pas familier, l’harmonie sociale est un des principes que chacun chérit à sa façon. Néanmoins certains enfants n’arrivent pas toujours à trouver une place dans le milieu scolaire. Cela peut prendre des proportions très larges allant jusqu’à l’exclusion sociale, la violence, le harcèlement et la persécution. Ces notions, dues à l’intimidation et à une pression profonde, ne devraient pas subsister. C’est ainsi qu’il doit être inculqué à chaque élève le mal-être produit en cas d’exclusion sociale, ceci doit sensibiliser et heurter les consciences des plus jeunes afin que compréhension soit faite.
La multiplication des liens de camaraderie contribue à un monde meilleur pour les décennies à venir, afin que chacun est une vision de la vie plus positive pour une stabilité durable. De plus cela aboutira à un monde meilleur si les futurs gouverneurs choisissent la bienveillance et l’entraide plutôt que la vengeance et la mauvaise foi !
Devenez amis, cela apporte plus qu’il n’y parait.