Le dernier jour du mois de Juillet, au 31, depuis 1962 on honore les femmes Africaines et la place fondamentale qu’elles inscrivent dans la société. C’est l’organisation panafricaine des femmes qui, depuis plus de cinquante ans, est précurseur de l’événement et met en lumière les actions portées par les femmes africaines ainsi que leur potentiel, ce qui aboutit à reconnaître leur rôle et atteindre plus de droits.
Des pays en voie de se démocratiser
En Afrique, alors que bon nombre de pays est en sous développement, la femme n’est pas considérée comme telle. À l’inverse des pays Occidentaux elle connait de nombreux obstacles et difficultés à se faire entendre. Les associations de défense des droits de l’homme permettent à ces personnes de voir le jour différemment et faire sortir la plupart d’un calvaire intolérable. Le chemin est encore long, mais sur la bonne voie, certaines témoignent être reconnaissante de ce que la vie a à leur offrir.
Le protocole Maputo
Alors qu’une charte Africaine nommé le protocole Maputo, promulguant les droits des femmes en Afrique, est adopté par une partie des pays, nombreux sont ceux n’ayant toujours pas ratifié ce dernier. Les défis sont de taille, violes, femmes excisées, mariages forcés, discriminations, manque d’intégrité, logement indécent, manque de considération et nombreux actes répressifs de la traite des humains doivent être condamnés, abolis.
L’engagement des États Africains pour désirer mettre un terme aux discriminations, violences de tout types et stéréotypes à l’encontre des femmes Africaines fut un moment émouvant. Le texte du protocole de Maputo constitue un modèle et une source d’inspiration notable. Les ratifications sont une l’œuvre des efforts accumulés et de la volonté des femmes à vouloir s’assumer librement.
La presse et l’information, un rôle majeur
Les médias jouent un rôle cruciale dans la diffusion de l’information, aujourd’hui pour aider les femmes Africaines à développer leur destin, vivre avec moins de contraintes et s’épanouir davantage, il est en notre pouvoir de faire circuler notre prise de conscience. L’éducation des jeunes filles dans les pays Africains doivent être à égale niveau que celui des garçons, un détail primordiale dans le développement des pays du Sud. Dans nos écoles, dévoilons aux plus jeunes ce que d’autres du même âge vivent au quotidien afin de sensibiliser les esprits.
Les associations peuvent être honorées pour tout les actes valorisés ayant permit une véritable libération de la femme. Les initiatives des femmes elles-mêmes doivent être prit en compte. Les efforts fournit en faveur des femmes sont inscrit dans une lutte constante pour l’égalité. Les projets ne cessent de grandir au travers de campagne et d’évolution persistante.