Le 28 Juillet a été mis en place une journée mondiale afin de donner l’occasion de sensibiliser un large public dans une démarche de prise de conscience et de prévention de la maladie. Depuis quelques années l’OMS demande à tous les pays du monde de s’investir – financièrement et moralement – dans l’élimination de l’hépatite.
Quels sont les aboutissements ?
La quête de l’intensification des efforts à fournir se résume dans quelques objectifs, tel qu’encourager les pouvoirs politiques nationaux à financer les actions, encourager les populations à chercher à accéder aux services de préventions, de dépistages ainsi que de traitements. Les coûts sont majoritairement élevés mais les conséquences encore plus sévères.
Les conséquences d’un manque de connaissance
L’hépatite cause de nombreux dégâts au sein des populations mondiales si la maladie n’est pas prise au sérieux. En effet, les hépatites virales sont classées de A à G en fonction de la famille du virus en cause. Et cela tout le monde ne le sait pas. Inflammation du foie le plus souvent causée par une infection due à un virus, par voie fécale-orale, d’une personne à une autre, par intoxication alimentaire, ou de l’eau, par voie médicamenteuse, produit chimique ou alcool. En termes de contraction l’hépatite A est la moins grave des hépatites virales, la B est davantage répandue dans le monde et aussi très mortelle, tandis que la C est la plus insidieuse – très résistante elle peut devenir chronique c’est-à-dire lorsque la maladie persiste plus de six mois. L’hépatite B ou VHB se transmet notamment pas voie sexuelle. Comme le VHC, le VHB se contracte au partage du sang contaminé. En outre, une femme enceinte porteuse d’une hépatite B chronique peut la transmettre à son bébé durant la grossesse. L’infection être éliminé ou rester dans le corps humain.
Les campagnes de prévention
Les pays sous-développés sont les plus dangereux pour la santé de l’homme, les conditions sanitaires étant moindres. L’avantage des médias et des campagnes de sensibilisation est que le grand public peut être alerté. Il est du devoir de l’éducation nationale d’instaurer dans toutes les écoles des moyens préventifs, des ateliers d’information, des conférences obligatoires. Avec 325 millions de personnes vivant actuellement avec la maladie, ce sont 2 850 000 habitants du monde qui l’ont contractée au courant de l’année 2017. Malheureusement, 80% des porteurs du virus hépatique n’ont aucun accès à la prévention ni aux services de traitement. Afin d’atteindre un objectif d’extinction, se sont 6 milliards de dollars par an jusqu’en 2030 – selon les statistiques- nécessaire à l’élimination radicale.
Dépistage, contraction, traitement, informez-vous et votre entourage pour éviter au maximum la propagation. De plus, cela permet lors des voyages à l’étranger de prendre davantage de précautions !