Lancée par l’organisation des nations unis en 2001, la Journée de la destruction des armes légères est célébrée le 9 juillet de chaque année pour le bien de la population des pays concernés.
Qu’est-ce qu’une arme légère ?
Par opposition aux armes lourdes, les armes légères sont plutôt utilisées par un seul individu sans nécessité d’un trépied ou support. Les armes légères comprennent alors les catégories suivantes : les pistolets, les pistolets mitrailleurs, les fusils (fusils à pompe, d’assaut, de précision…) et les mitrailleuses légères.
Le problème des armes concerne la planète entière
Les victimes de la violence par les armes légères sont assez nombreuses pour que les centres de sécurité de la population soient sensibilisés par de telles actes. Ce sont environ mille personnes tuées par jour à cause des armes blanches. C’est aux quatre coins de la planète qu’agissent les campagnes pour contrôler les armes. Les réseaux d’actions internationales sont les précurseurs de la destruction de plus de 800 000 armes chaque année ! À l’heure actuelle, 640 millions d’armes sont en circulation, soit une pour dix personnes.
En revanche les armes non réglementées constituent un problème majeur. Pour une arme détruite, dix armes sont illicitement produites. Peu coûteuse et facile à manipuler, transporter ou cacher, cette production est davantage problématique en ce qui concerne la sécurité globale. Cela aggrave d’autant plus les tensions, cela est même devenu un cercle-vicieux dans lequel la violence et les conflits sont de plus en plus meurtriers, longs, insécurisants, la demande d’armes s’accroît. C’est ainsi que les armes légères sont les plus utilisées lors de menaces civiles, des activités terroristes ou même entre crimes organisés et guerres entre gangs.
Aux États-Unis alors que le port d’arme est autorisé c’est là où les différents et les désaccords se règlent à l’abris du regard judiciaire. Avec plus de 30% d’exportation au niveau mondial, les États-Unis participent au plus important transfert d’armes légères. Cette exportation se fait une grande partie dans les pays du Moyen Orient, alors que le second pays précurseur est la Russie, la France se retrouve en quatrième position. Chine, Royaume-Uni, Espagne, Italie, suivent respectivement selon les statistiques connues. L’opacité et le manque de contrôle évident relève d’un défi majeur, la traçabilité inclut des enjeux éthiques liés au commerce.
Les armes non contrôlées posent un problème durable. En plus de jouer un rôle prépondérant dans les bilans humains de nombreux conflits, les luttes contre ces derniers, contre le terrorisme « justifient » l’augmentation des ventes d’armes.
Que faire pour lutter contre ?
Afin de mettre au courant une plus grande partie du public, il est important d’amorcer des campagnes de sensibilité. Sortir d’un tel cercle-vicieux serai un but substantiel, or il est nécessaire de maintenir la population dans une connaissance honnête. Dans les écoles, parler de commerce illicite titille la curiosité des plus jeunes, sensibiliser les adolescents sur les risques encourus et des traumatismes psychiques éventuels n’est pas à négliger.
Agir contre la violence faite par les armes c’est appuyer l’avis du gouvernement dans l’engagement de la destruction de celles-ci !