Journée de la fin de l’impunité pour les crimes commis envers les journalistes

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En 2013, l’organisation internationale des Nations Unies légiféra la Journée de la fin de l’impunité pour les crimes commis envers les journalistes pour avoir lieu le 2 novembre de chaque année. Cette nouvelle résolution amorçât le début de plans d’actions méthodiques liés à la sécurité des journalistes ainsi qu’à l’impunité des crimes commis contre eux.

Le métier de journaliste

Un journaliste est une personne qui recueille, écrit et distribue des informations diverses et variées. Les sujets sont choisis selon l’importance que le journaliste y accorde, c’est lui qui sélectionne son propre travaille lorsqu’il œuvre à son compte. Pour une société médiatique les sujets peuvent en effet être imposés, dans la limite de la clause de conscience. L’actualité est très fréquemment en ligne de mire, celle-ci pouvant se référer au sport, à la politique, aux conditions de vies humaines, animales, à la gastronomie, la cinématographie ou encore le milieu scientifique et tant d’autres. Le choix est large, tout comme les possibilités d’exécutions ; le journaliste peut s’avérer être critique littéraire, éditorialiste, journaliste d’enquête, présentateur de journal, rédacteur, reporter, secrétaire de rédaction, photojournaliste, reporter d’image ou même correspondant. En France, l’exercice du journalisme est libre et non soumit exclusivement au journalisme professionnel. Les médias forment un pouvoir dans l’opinion publique et l’influence des prises de position des citoyens. Télévision, radio, agence de presse, il en existe pour tous les goûts, chacun est libre de s’informer comme bon lui semble.

Plans d’actions

Dans le monde, 90% des crimes commis envers les journalistes n’ont pas été punis. En l’espace de 10 ans 1109 journalistes ont été tués au cœur de l’action depuis 2009. Réalisant leur rêve, certains ont été trahis par la vie.
En vue de renforcer la paix, une logique de punition pourrait éloigner certains actes mortels, répressifs ou de situations à risque. Sur le top trois des pays les plus risqués pour les reporters sans frontière on retrouve en première position la Corée du Nord suivis de l’Érythrée et du Turkménistan. À ce jour 176 journalistes sont enfermés et retenus prisonniers à travers le monde. La Syrie étant en quatrième position, l’environnement meurtrier et intimidant des journalistes est un quotidien. Contre toute attente, la Chine se trouve en cinquième place alors que le régime gouvernemental censure, contrôle les médias et enferme les reporters qui ne suivent pas correctement le discours officiel, une cinquantaine de Journalistes y sont emprisonnés.
Le Plan d’Action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question de l’impunité est proclamée afin de permettre aux passionnés d’exercer leur métier en toute liberté, couvrant à la fois les situations de conflits et de non-conflits.