Phénomène d’exercice de pouvoir déjà existant depuis 1794, le terrorisme signifie terroriser par la violence dont la finalité consiste à semer les troubles contre une idéologie, à imposer une doctrine politique contre celle déjà instaurée dans un pays, mais aussi à restreindre la liberté religieuse par l’idéalisme des terroristes qui le prônent ou bien en allant dans le sens inverse.
Qu’est-ce qui déclenche cette violence ?
L’objectif du terrorisme consiste à recruter leurs partisans dans le monde entier et ensuite de s’attaquer aux civils dans le pays cible n’étant pas préparé comme à la guerre. Ce phénomène se manifeste de plusieurs façons en organisant des attentats à la bombe, des prises d’otage, des assassinats pré médités, des séquestrations commanditées, etc.
Ce qui a déclenché cette violence meurtrière trouve son origine dans la divergence d’opinions religieuses, les conflits perpétuels entre l’Israël et la Palestine, l’existence d’écart considérable des richesses entre les pays du Nord et du Sud en voulant faire comprendre aux riches les souffrances des pauvres, l’opposition sur la question de la mondialisation entre pays occidentaux et islamiques en est aussi une autre cause.
À l’exemple des jihadistes, aperçus comme terroriste numéro un dans le classement mondial, cette obstination naît d’une illusion de posséder un État qui leur est propre où la culture islamique devra y être répandue, un rêve contesté par la plupart des musulmans eux-mêmes. Quant aux anarchistes, ils visent à l’anéantissement de personnalité célèbre jugé avoir infligé la répression publique ou sur l’un des leurs comme des hommes politiques, des milliardaires et même des prêtres.
L’antagonisme contre le terrorisme
Les impacts pathologique et socio-économique sur les victimes causés par ces attentats, notamment l’effondrement du World Trade Center survenu le 11 septembre 2001 à New York faisant plus de 3000 victimes ont conduit les mouvements anti terroriste à fixer le 11 septembre comme la journée mondiale de lutte contre le terrorisme.
Cette journée consiste à l’instauration et l’éducation de la paix afin de former les consciences de toutes les couches de la population, à renforcer les instruments juridiques existants depuis l’apparition de ce phénomène terrorisant tel que les conventions, les protocoles d’accords ainsi que les lois universelles sur la prévention, la suppression et la lutte contre le terrorisme, à débattre sur l’utilisation des moyens à mettre en œuvre et à élaborer d’autres règles régissant le terrorisme. Comme en France, la mise en place de plateforme contre le djihadisme constitue une des mesures anti-terroristes.
Par conséquent, la journée mondiale anti terrorisme s’inscrit dans le devoir de tout éducateur Chef de Nations, juristes, formateurs divers, laïcs, évangélistes et religieux à inciter le peuple à respecter l’ordre mondial et d’insister sur le lien légitime existant entre le droit et la paix.