Les défenseurs du voile ou foulard Islamique perpétuent un débat suscitant des avis divergents. Ce sont trois femmes militantes qui amorcèrent l’instauration du mouvement de cette Journée mondiale des “femmes sans voiles” au 10 Juillet. Paraissant être un dialogue de sourd, cet événement est basé sur des piliers impartis.
Question de culture?
L’Alliance des Femmes pour la Démocratie participe grandement à l’événement afin de soutenir les initiatives des personnes qui luttent avec courage, aujourd’hui les femmes de la religion musulmane souhaitent mettre un accent sur leur liberté, vivant dans un pays démocratique. En tant que citoyenne de la France toutes femmes est en droit de recevoir l’égalité et la dignité, ainsi il est important de souligner le fait qu’elles puissent, si elles le souhaitent, déroger à ce que la culture Islamique leur impose.
Il est notoire de considérer les efforts considérables à fournir dans une lutte contre un rite religieux – pour le bien d’une communauté. En effet il est difficile d’émettre un avis pour toute une population dont les principes diffèrent, et expliquer que les enjeux ne sont pas les mêmes d’un pays à un autre.
Un pas vers la démocratie
L’Alliance des Femmes pour la Démocratie est un organisme associatif comptant un certain nombre de valeur, non seulement pour revaloriser la place de la femme dans la citoyenneté en générale, mais aussi pour rétablir les droits, l’égalité, la démocratie pour tous et ainsi de suite, prenant en compte une quantité d’opinion.
Les femmes de communauté religieuse, musulmane, qui décident de ne pas porter le voile peuvent être rejetées par leur famille ou vivre tout type de violence physique et morale. Cela ne devrait pas exister dans une société qui prône la laïcité et la « liberté d’être ». En outre cette Journée mondiale a également pour but de mettre en lumière la possibilité pour les femmes voilées de ne plus se cacher, de profiter d’une liberté qui pourrait leur être vaillamment accordée.
Des femmes se battent pour cette intégrité, car les « nouvelles générations » ne souhaitent plus se soumettre à une obligation notamment générationnelle. Celles-ci affirment vouloir faire instaurer de nouvelles lois d’interdiction du voile, comme celle qui fut proposée et approuvée en 2003, contre le port du voile à l’école.
Vers l’integrisme
Dans l’unique objectif de faire de l’intégrisme une ampleur majoritaire, de grands rassemblements sont organisés au centre de Paris lors de la Journée mondiale des “femmes sans voiles“. De nombreuses associations et organismes sont partenaires du mouvement, tel que le CNAFAL (Conseil National des Associations Familiales Laïques).
L’événement ne s’est pas encore développé davantage, les militants comptent sur un soutien grandissant. Une sensibilisation de la population devrait être conçu en faveur des manifestations comme par exemple des visites illustratives au sein de groupes scolaires, ou encore des publicités afin de conscientiser les Français.