Les églises et cathédrales en France
La France regorge d’édifices religieux, fidèles croyants ou simples amateurs d’art, on peut difficilement rester insensible à la beauté de certains monuments. Ensemble, nous allons parcourir les joyaux les plus plébiscités, à la découverte des trésors surprenants qui cachent en eux de stupéfiantes histoires. Les églises et cathédrales en France sont très visitées, révélons celles qui manquent à votre répertoire.
Les églises et cathédrales les plus visités en France
L’art religieux est riche à foison, alors qu’églises et cathédrales sont très significatives pour les religieux il était impensable autrefois de construire un village sans un édifice qui permet de se relier à Dieu, à soi-même. Si aujourd’hui chaque ville et village détient une mairie, une église et un clocher l’accompagne également. Parmi les édifices, de somptueux monuments ont été construits durant des siècles. D’autres plus petits ne manquent pas de cachet et possèdent des énergies très puissantes. L’art sacré est une singularité que l’on retrouve dans le monde entier, à différentes époques l’Homme a toujours apporté une importance cruciale au développement de la créativité au travers de la divinité.
Les secrets de Notre-Dame de Paris
La France détient le record du nombre d’édifices religieux avec près de 90 000 monuments sacrés, un patrimoine unique dans le monde. Les plus connus portent le nom de Notre-Dame, effectivement Notre-Dame de Paris éblouit tout passant qui s’en approche. Réputée dans le monde entier ce sont près de 13 millions de visiteurs qui se déplacent pour constater la beauté de Notre-Dame à Paris. Un chef-d’œuvre gothique situé dans le 4E arrondissement de la capitale. C’est entre le XIIe et le XIVe siècle que la belle fut bâtie, elle subit au fil des siècles d’importantes restaurations qui la font chaque fois plus briller. Au cœur de l’histoire cette cathédrale est une pionnière de l’architecture gothique, entièrement réhabilité au XIXe siècle par Eugène Viollet-Le-Duc, inventeur des gargouilles. Les premières cathédrales gothiques apparaissent dans les villes du Nord de la France, notamment à Sens, dans la ville de Noyon mais aussi à Senlis et Lens.
Aujourd’hui, pour lire et comprendre le bâtiment, chercheurs et historiens usent des technologies novatrices afin de percer le mystère de la construction de Notre-Dame de Paris. Effectivement ce chantier a participé aux plus grandes recherches dans l’histoire de l’architecture. Des détails que l’on ne perçoit pas sur les photos à l’œil nu, peuvent apparaître et nous faire comprendre le langage de nos ancêtres leurs préoccupations, croyances et dogmes religieux mais aussi les inquiétudes face à la construction de ce somptueux édifice. L’apparition des premiers arcs boutants de Notre-Dame ont été l’une des plus grandes révolutions de l’architecture gothique, les chercheurs désirent connaître ce qui a initié cette création. Ces arcs boutants sont indispensables à la solidité du bâtiment. Le doute, l’observation, l’expérimentation, sont les fondements même de la construction de ce solide monument à la vision théologique. Un palais céleste édifié par peu d’artisans résulte d’un brassage intellectuel très fort.
Pierre, verre et métal sont les matériaux utilisés, la couleur vient achever la beauté extérieure comme intérieure. La couleur protège et isole également le monument des fissures et du gel. Mais encore plus, la couleur captive la lumière pour faire briller la cathédrale sous tous ses angles. Le portail revêtu de feuille d’or éclaire, éblouit, à l’image de la symbolique chrétienne. Notre-Dame fut également une façon de montrer au peuple le pouvoir royal. Une statue du roi Philippe Auguste atteste de la proximité de relation entre le clergé et le corps royal au XIIIe siècle. Au XVIIe siècle le roi soleil suivit de son père font irruption au cœur de la cathédrale.
Ce n’est pas la plus grande cathédrale de France, bien que certainement la plus flamboyante. Elle domine Paris au milieu du XIIIe siècle, la capitale du royaume qui se peuple de plus en plus. À Bourges, Chartres, Amiens, Rouen, ou encore Beauvais, ornés de vitraux aux couleurs profondes les cathédrales gothiques affluent. Des flèches qui veulent atteindre les cieux sont plantées au-dessus de certains toits et offrent des représentations spectaculaires.
Plus d’informations sur la
cathédrale Notre Dame de Paris
Le cœur historique de France reflète un patrimoine religieux riche
L’histoire commence avec les premiers chrétiens. Alors qu’ils sont chassés, martyrisés par les païens, ils sont obligés de se rassembler en communauté dans des lieux de culte en sous-sol avec des baptistères clandestins. En l’an 313 après J.C. l’empire romain fait sortir le christianisme de la clandestinité grâce à un édit qui tolère le culte de Jésus, des évangélistes et de la bible. C’est un socle sur lequel la religion fleurit et la course aux merveilles dure depuis des siècles. Nous cherchons à atteindre Dieu par tous les moyens, à commencer dans le Poitou, en plein centre de la France. Saint-pierre-les-églises à Chauvigny construit en 782 après J.C. est un des rares édifices carolingiens à tenir debout. Les trésors enfouis en son sein sont uniques. Le plafond couvert de fresques de l’art roman miroite dans le but de faire grandir les églises.
La basilique Saint-Denis
Étroitement liés à l’histoire de France les édifices religieux en tout genre règnent sur le territoire, notamment en son cœur au niveau de la capitale. Les vitraux, peintures et reliques qui se sont constitués au fil des siècles forment la richesse de notre pays. Le patrimoine religieux ne cesse de s’étoffer, merveilles et légendes ont fleuri pour toucher nos oreilles, atteindre notre âme. Chaque période apporte son style, la basilique Saint-Denis nous dévoile les secrets de l’art gothique et de la conquête de la lumière !
À quelques kilomètres de Notre-Dame de Paris au milieu des immeubles modernes, le monument aux proportions immenses est un trésor construit il y a 900 ans. C’est le tout premier chef-d’œuvre de l’art gothique en France, la rupture de style est importante pour l’époque, c’est à partir de ce siècle que l’objectif est de faire monter les églises le plus haut possible dans l’air. Est dépensé pour la construction de l’église plus d’argent pour les vitraux que pour l’édification des murs. Atteindre Dieu et la lumière considérée comme l’esprit du divin, par tous les moyens les Chrétiens façonnent des monuments de plus en plus importants.
Cluny en Saône-et-Loire
Berceau de la communauté bénédictine en France, Cluny en Saône-et-Loire hébergeait la « Maior Ecclesia » qui a été démantelée et détruite lors de la révolution entre 1789 et 1791. Cluny transpose dans l’architecture l’évocation d’un monde céleste. Les reconstructions virtuelles grâce à la technologie haut de pointe et aux passionnés historiens, ont pu effectuer des reconstitutions en 3D faisant revivre les trésors de l’église. Des proportions jusqu’alors inégalées fondent la Maior Ecclesia, des matériaux d’une richesse exceptionnelle, une lumière éclatante qui contraste avec la semi-obscurité, un tout qui reflète une ascension vers Dieu singulière. Les communautés se réunissaient pour de longues processions dans ce lieu qui contient les codes de la liturgie.
La basilique Sainte-Madeleine de Vezelay
Heureusement les grandes abbayes romanes du XIIIe siècles subsistent encore dans les remparts de notre pays. La basilique Sainte-Madeleine de Vezelay en Bourgogne est un chef-d’œuvre de l’art roman. Perchée sur une colline verdoyante le haut lieu de pèlerinage domine le paysage. Inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. À partir du XIIe siècle jusqu’à aujourd’hui la basilique est un rendez-vous incontournable de la Chrétienté. Dans les légendes, les reliques sont volées par un moine à Saint-Maximin dans le Var pour arriver à Vezelay. Des reliques précieuses qui attirent des millions de pèlerins venus de toute l’Europe.
L’abbaye de Saint-Savin
Les voûtes en berceau qui soutiennent l’ensemble d’un édifice sont une image illustre de l’art roman et prouesses de l’architecture du moyen âge. On les retrouve dans les constructions de cette époque notamment au sein de l’abbaye de Saint-Savin. Classé au patrimoine mondial le bâtiment monastique marque les esprits par la collection d’une vingtaine de fresques immenses qui l’habille de l’intérieur. Les scènes peintes à même les murs à 17 mètres de hauteur les moines ont voulu raconter la puissance spirituelle de l’abbaye. Les représentations se lisent comme dans un livre, elles représentent 44 scènes de l’ancien testament tel que la construction de la tour de Babel.
Différencier les styles d’art roman et gothique
Églises romanes
Les églises romanes et gothiques ne finissent pas d’être édifiées au fil des siècles alors que l’essor et le développement en occident s’instaurent et le domaine royal se renforce. L’art roman marque le terme de la période d’invasion, il apparaît nécessaire de restaurer ou reconstruire les églises du haut Moyen Âge qui ont pu être détériorées. L’arrivée du pèlerinage en force dès 900 implique la restauration qui s’initie au goût du jour. La naissance de l’art roman (900-1200) expose des monuments plutôt austères aux formes imbriquées, aux murs épais et dépourvus d’ornement lumineux. Peu de fenêtres sont percées puisqu’elles peuvent être susceptibles de fragiliser les fameuses voûtes créant les pièces de maçonnerie massives appelés contreforts, en outre, les églises romanes sont caractérisées par un tympan au-dessus du portail.
Églises gothiques
Tandis que l’art gothique (1100-1500) bâtit la fierté de l’identité urbaine, les cathédrales sont importantes, plus hautes et plus belles les unes des autres. Les façades sont envahies de sculptures avec des ouvertures nombreuses, à l’intérieur la lumière est plus élancée grâce aux clefs de voûtes élancées, cela fait apparaître une lumière bien présente. Les vitraux sont très nombreux, une rosace centrale et de larges baies font entrer le jour. L’histoire religieuse est racontée sur les vitraux en et anime l’intérieur des édifices avec des couleurs changeantes en fonction de l’heure de la journée. La lumière entrant chaleureusement laisse aux croyants une autre vision de la religion.
En revanche le plan reste similaire à l’art roman. Les édifices sont orientés vers l’est, la terre sainte, et empruntent la forme symbolique d’une croix.
Églises baroques
Finalement à la fin de l’époque gothique, alors que les édifices n’ont cessé d’évoluer et se montrent de plus en plus décorés, apparaît dans cette continuité l’art baroque qui va pousser l’exagération à son maximum. Place à la surcharge décorative les monuments religieux dont la très grande majorité se trouvent à Rome.
Les 5 églises les plus surprenantes et insolites de France
Parmi tous les monuments incroyables de l’époque, leur architecture nous apprend que les sociétés étaient déjà très évoluées. La France et l’Italie sont classés parmi les pays où l’on retrouve les plus beaux chefs-d’œuvre architecturaux en matière de Cathédrales et Basiliques.
Les trésors de l’art caché de France s’avèrent uniques et parfois insolites.
Cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky
La Cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky est située au 9E arrondissement à Paris est l’Église orthodoxe Russe du quartier. Au XIXe siècle, alors qu’une forte communauté Russe peuple la capitale Napoléon III leur accorde la construction d’un lieu de culte permanent. Deux architectes Russes membres de l’académie des Beaux-arts de Saint-Petersbourg construisent l’édifice dans un style Bizantino-Moscovitch. À l’intérieur, un mur en bois de chêne sculpté, des bougies, décors et fresques accueillent des messes en Slave mais aussi quelques-unes en français. Les particularités de cette église donnent l’impression de véritablement voyager ! Par ailleurs, Pablo Picasso s’est marié dans cette église avec la fameuse danseuse Russe, Olga, en 1918.
Basilique du Sacré-Cœur
Basilique du Sacré Coeur, Paris – ©Gauthierpous, CC0 Creative CommonsPour rester dans un style plutôt clair, la Basilique du Sacré-Cœur qui se voit de loin est un des monuments préférés des Français. Sa blancheur immaculée s’expose au sommet de l’avenue Montmartre, après 270 marches vous pourrez profiter enfin d’une vue splendide sur les détails de cette unique Basilique. Le Christ vous accueille avec bienveillance, bras ouvert avec un cœur doré, l’emblème de la basilique. Construite en signe de foi et d’espérance en 1870 après la défaite de la France face à l’Allemagne, Paul Abadie s’inspire d’autres édifices qu’il a pu réaliser ailleurs en France. Quarante ans de travaux seront nécessaires avant d’achever la construction complète de la basilique à l’aube de la première guerre mondiale. Sa blancheur est due à la pierre du Château-Landon, identique à celle utilisée pour la construction de l’Arc-de-triomphe. Après 22 h 30 la fermeture des portes au public n’annonce pas encore la fin de journée pour la belle. D’ailleurs, les nuits d’adorations ne se terminent jamais, il est possible de réserver une chambre face à la basilique et de s’y recueillir à toute heure du jour ou de la nuit. L’architecture avec de grandes coupoles et des décorations sont l’œuvre d’un mélange entre l’art Roman et Byzantin. La basilique du Sacré-Cœur dénote d’une architecture unique au cœur de la ville lumière.
La particularité du Sacré-Cœur est sa cloche, tout en haut située dans le clocher, on la nomme Françoise-Marguerite et pèse 19 tonnes. C’est la plus grosse cloche au monde capable de se balancer. Les dimanches et jours de fête on l’entend résonner dans tout le nord Parisien !
Chapelle Notre-Dame-du-Haut
À la visite de la chapelle Notre-Dame-du-Haut dans la région Franche-Comté, l’architecture franco-suisse dénote d’une singularité surprenante. Pensée par Charles-Édouard Jeanneret-Gris connu sous le pseudonyme Le Corbusier, est un architecte d’origine suisse qui œuvre au sein de la période cubiste et expressionniste du Xxe siècle. Censée remplacer une chapelle classique endommagée durant la guerre, Le Corbusier a exprimé son âme d’artiste au sein de cette chapelle catholique fine et tout en rondeur. L’architecture rappelle le chemin vallonné des Vosges sur lesquels la chapelle Réside, pour la forme du toit, Le Corbusier a été inspiré par la carapace du crabe. Il a osé rompre les codes en adoptant le béton brut au service d’un édifice sacré. Entre courbes et lignes droites la chapelle à l’architecture hors du commun est un clin d’œil à la modernité. À l’intérieur, le système de vitrage astucieux apporte des jeux de lumière que l’on ne soupçonne pas. Et pour une chapelle qui sort de l’ordinaire, une messe qui l’est tout autant ! Des visiteurs du monde entier entrent dans ces murs de béton pour une ambiance chaleureuse et conviviale.
Couvent de la Tourette
Par ailleurs, Le Corbusier ne s’est pas arrêté à la chapelle Notre-Dame-du-Haut, niché dans le décor d’Auvergne-Rhône-Alpes près de Lyon il a également fondé le Couvent de la Tourette. Au beau milieu d’une nature verdoyante de santé, lumineuse et accueillante le Couvent de la Tourette est destiné à l’ordre des Dominicains entre 1953 et 1960. Entre prières et études les religieux doivent vivre durant sept années dans cet endroit clos. On retrouve alors une architecture faite de ligne droit, des blocs qui font pourtant rentrer la lumière à l’intérieur, avec des jeux d’ombre. Mais en raison de la révolte de la jeunesse étudiante en mai 68 ainsi que la crise imminente de l’Église catholique, en 1970 le couvant est déserté. Aujourd’hui le monument est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, et accueille chaque année 7000 visiteurs qui séjournent quelques jours ou restent quelques heures.
Le message que nous font passer prieurs et frères du couvent est très puissant : « Il peut être extrêmement bénéfique de faire en sorte que l’on s’apaise, que l’on cesse de se laisser bombarder en permanence par des évènements extérieures pour faire un peu de silence, un peu de calme et de paix. Et si on a le goût pour ça, peut-être de se rapprocher de Dieu ».
L’essentiel est de se focaliser sur ce qui est inutile. On se focalise quotidiennement sur des objectifs qui tendent à « servir à quelque chose », à être utile. Alors qu’il y a des choses, sans doute les plus essentielles qui sont inutiles en ce sens que l’on ne puisse les instrumentaliser à son service mais qui soi-disant passant, nous font réellement du bien ! La beauté de la vie, les spectacles de la nature, la contemplation, la méditation, etc.
Cathédrale Saint-Front
Pour finir, rendons-nous en Dordogne visiter la cathédrale Saint-Front située dans le centre-ville de Périgueux. Classée monument historique depuis 1840 et au Patrimoine mondial depuis 1998, cette Cathédrale catholique romaine, fait preuve d’un charme unique avec un plan en croix grecque. Inspirée de la Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre que nous avons vu plus haut, ses fascinantes coupoles attirent l’œil même des moins curieux. En 1852 la cathédrale nécessitait à cette époque une importante restauration, l’architecte en charge du plan de réhabilitation s’aperçoit que des vestiges de petites coupoles romanes sont dissimulées sous le toit en tuile.
L’architecte Paul Abadie s’en inspire alors afin de créer des toits monumentaux. Cette idée de coupole serra sa marque de fabrique, à Angoulême comme à Paris sur ses plans architecturaux. Les dômes de pierre tel des écailles couvrantes, surmontés d’une lanterne qui se dirige droit vers le ciel sont l’expression du sacré. Les toits de Saint-Front sont spectaculaires, les pierres qui couvrent le toit laisse aux passants la possibilité de s’y balader et admirer le paysage radieux. Depuis un siècle la visite n’est néanmoins plus ouverte. La cathédrale est dotée d’un orgue, cet instrument à vent que l’on entend jusqu’à l’autre bout de la ville ne peut fonctionner que s’il est régulièrement utilisé. Aujourd’hui et depuis sa restauration le clavier « coup de poing » est joué, entre ciel et terre à mi-hauteur du clocher l’organiste exerce joyeusement sa tâche d’artiste.
Les églises, plus grands musées de France
Les églises sont des endroits que l’on admire, très convoitées des visiteurs elles sont comparées aux plus grands musées de France tant elles sont vénérées et possèdent des trésors inestimables. Effectivement, l’exaltation de ces réelles œuvres d’art est à son paroxysme. Endroit dans lequel le calme réside, le charme et la paix, les lieux de culte ont une énergie que l’on ne peut sous-estimer. Ce sont des chefs-d’œuvre à elles toutes seules, églises cathédrales et basiliques ne cessent de nous éblouir. Tous racontent l’histoire de notre pays, la vie d’en-temps est exprimé au sein de ces édifices d’âge mûr. En France la valeur du riche patrimoine tient d’un désir de sauvegarde révélateur. Les projets de restauration dans le cœur des Français qui participent joyeusement à la construction ou réhabilitation de notre culture.
Les églises sont visitées chaque année par de nombreux touristes et adorateurs. L’art à la française est apprécié, ornements, détails, sculptures, de nombreuses associations s’attèlent à rassembler les fonds nécessaires aux divers investissements. Conserver des scènes de vie, les fresques sur les murs sont des œuvres historiques que l’on ne veut pas perdre !