Tout savoir sur Ambarès-et-Lagrave
Ambarès-et-Lagrave est une moyenne commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Gironde et de la région Nouvelle-Aquitaine.
Elle fait partie de la Communauté urbaine "de Bordeaux".
Les habitants et habitantes de la commune de Ambarès-et-Lagrave sont appelés les Ambarésiens et les Ambarésiennes.
Les 13 142 habitants de la ville de Ambarès-et-Lagrave vivent sur une superficie totale de 25 km2 avec une densité de 526 habitants par km2 et une moyenne d’altitude de 20 m.
Depuis le dernier recensement de 1999 à 2008, la population est passée de 11 204 à 13 142 et a fortement augmenté de 17%.
Les villes voisines sont Sainte-Eulalie, Saint-Vincent-de-Paul, Carbon-Blanc, Bassens, Yvrac.
La grande ville la plus proche de Ambarès-et-Lagrave est Cenon et se trouve à 9 kilomètres au sud-ouest à vol d'oiseau.
La gare la plus proche de Ambarès-et-Lagrave se trouve à Ambarès-et-Lagrave (La Gorp).
Le maire actuel de la ville de Ambarès-et-Lagrave est Michel Héritié.
Dans le cadre de son programme de jumelage avec d'autres villes du monde, la ville de Ambarès-et-Lagrave est jumelée avec Kelheim (Allemagne), Norton radstock (Royaume uni).
Pour effectuer l’ensemble de vos démarches administratives en mairie (naissance, mariage, décès), vous pouvez contacter par téléphone ou par email l’équipe municipale à l’aide des coordonnées ci-dessous ou vous rendre directement au 18 place Victoire 33440 Ambarès-et-Lagrave.
Origines de la commune d'Ambarès & Lagrave
Il est tout à fait possible que l'église romaine d'Ambarès puisse dater du IXème siècle.
En 1161, un immense domaine féodal, englobant l'ensemble des marais situés entre "deux-mers" (selon les écrits), délimitait en réalité tout le pays situé entre la Dordogne et la Garonne.
Deux châteaux féodaux (un sur la Dordogne-Cubzac, l'autre sur la Garonne) se partageaient le pays.
Un peu plus tard, ce domaine devint " Baronnie de Montferrand " nom donné au seigneur du lieu, dont le château dominait la Garonne à quelques centaines de mètres au nord du village de Bassens.
Ambarès peut être issu de cette famille, dont l'un des héritiers " Montferrand Tison de Barès " vivait en 1161 et dont la souveraineté s'étendait sur l'ensemble de ce pays.
Le quartier de Lagrave fut rattaché en 1818 à l'a Commune d'Ambarès, dont il avait été séparé sept à huit siècles plus tôt.
A l'époque des croisades, créée par l'ordre du Temple, la Commanderie de Lagrave gérait une léproserie, un gahet, aujourd'hui Gaës. Après la dissolution de l'ordre sous Philippe Le Bel, l'établissement devint une paroisse dépendant successivement de l'Ordre des Chevaliers de Saint Jean de Jérusalem puis, jusqu'à la fin de la Révolution, de l'ordre de Malte.
Origine du nom de la Commune d'Ambarès
Faut-il remonter l'appellation médiévale de la paroisse St Pierre de Quinsac-en-Barès, nom primitif de notre commune à la présence d'un domaine Gallo-Romain appartenant à un nommé Quintus ou Quinstius ?
Mais rien, par contre n'autorise à penser qu'un tel personnage se soit établi sur le territoire d'Ambarès. Après bien des invasions c'est à partir du VIème siècle que l'on peut dater l'apparition de nouvelles paroisses dont Saint Pierre-en-Barès dans le pays de Montferrand. Le nom de Barès écrit parfois Barreys semble avoir désigné toute la plaine basse, assise au pied des coteaux de Lormont.
On a pu distinguer ainsi la paroisse de Quinsac du pays de Barès, " Quinsac d'en bas ", " Quinsac dessous " de la paroisse de Quinsac près Camblanes, dite " Quinsac d'en haut " ou " Quinsac dessus " et qui avait également Saint Pierre pour patron.
Plus tard, l'usage s'introduit de n'employer que le surnom de Barès et le primitif " Quinsac " tomba en désuétude. " En Barès " a pu devenir par la suite " " Enbarès " en un seul mot, puis " Embarès " et finalement Ambarès fit oublier le vieux Quinsac.
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